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24 de junho de 2011

Prosseguir o roubo adiar soluções

Eles Já ensaiam o corte de 36% da dívida da Grécia.


« La plus sérieuse menace qui pèse sur la stabilité financière dans l’Union européenne vient de l’interaction entre les vulnérabilités des finances publiques de certains États membres et le système bancaire, avec des effets de contagion potentiels dans l’Union et au-delà » a déclaré Jean-Claude Trichet, au nom du Comité des risques systémiques dont il est le président. L’inquiétude pointe après les menaces, l’amenant à entrer dans le vif du sujet de la situation des banques.

Tardivement mais non sans à-propos, le régulateur européen suprême des banques, l’EBA (European Banking Authority), vient de demander aux 90 banques pour lesquelles des stress tests sont en cours de remettre leur ouvrage sur le métier et d’inclure de manière impromptue dans leurs simulations l’éventualité d’une décote de 36% sur la dette grecque.

Devant l’imminence du danger, une réunion a été improvisée avant le sommet européen, regroupant outre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, Jean-Claude Trichet, George Papandréou, Jean-claude Juncker, Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso. A part réaffirmer sous une forme dramatisée de grands principes dont toute la difficulté réside dans leur mise en musique, on ne voit pas très bien ce qu’ils vont pouvoir décider.

Ils ne peuvent au mieux que boucher les trous financiers immédiats de la Grèce pour convaincre le FMI, qui se fait tirer l’oreille, de faire de même. Ils en sont là, à régler les problèmes à la petite semaine." LC. Blog de P.J.

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