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24 de novembro de 2011

Viva a greve geral

1- Já se pode afirmar bque estamos perante uma muito grande greve geral. A força de quem cria riqueza revela-se reduzindo a base social de apoio ao governo . Cresce a indignação e a revolta contra uma política ditada pelos banqueiros e pelos grandes senhores do dinheiro. Um primeiro minstro que faz precisamente o contrário do que andou a dizer na campanha eleitoral não tem legitimidade politica e não é com falinhas mansas que, tal como o seu ministro das finanças, vai submeter o povo  a pagar a factura da especulação da alta finança nacional e internacional. A luta é o caminho . Viva a greve geral

2-O Directório das grandes potências reune-se para ver se limam as contadições e ganham algum tempo pois o fogo também já os ameaça.
Notícias da parte francesa.

CE : Berlin pourrait être forcé de revoir sa position

L'Allemagne reste opposée à laisser la BCE intervenir massivement. Mais sa position pourrait s'infléchir. La crise financière commence à la toucher et la récession menace. Nicolas Sarkozy accueille ce midi Angela Merkel et Mario Monti pour un nouveau mini-sommet de crise.

ECRIT PAR
Catherine CHATIGNOUXSous-chef de service


Le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, a appelé jeudi la Banque centrale européenne (BCE) à «jouer un rôle essentiel» pour sauver la zone euro, à quelques heures d'un sommet tripartite franco-germano-italien à Strasbourg.
«Nous avons toujours des fondamentaux solides. Ce qui ne va pas, c'est la confiance. C'est ça qu'il faut rétablir. Je pense -j'espère que la réflexion avancera -que la BCE devrait jouer un rôle essentiel pour rétablir cette confiance», a déclaré Alain Juppé sur France Inter. Interrogé sur le résultat médiocre d'une émission obligataire allemande mercredi, le chef de la diplomatie française a estimé que la crise «touche toutes les économies, même les plus solides». Le président Nicolas Sarkozy accueille aujourd'hui à Strasbourg la chancelière allemande Angela Merkel et le nouveau chef du gouvernement italien Mario Monti pour un nouveau mini-sommet de crise regroupant les trois premières puissances de la zone euro. Au centre de la discussion, la BCE, les eurobonds, et la gouvernance européenne.
Un sondage réalisé par Reuters auprès de 20 économistes et décideurs politiques de renom montre que près des trois quarts d'entre eux (14 exactement) pensent que la zone euro ne survivra probablement pas à la crise de la dette dans son périmètre actuel. « La zone euro peut et doit survivre, estime l'un des plus optimistes, Jeffrey Sachs, de l'université de New York, mais elle ne survivra pas en maintenant sa trajectoire actuelle. » Le remède à la crise le plus souvent évoqué au cours de l'enquête est que la Banque centrale européenne (BCE) devrait s'impliquer davantage, en devenant soit prêteur en dernier ressort, soit en achetant des quantités massives d'obligations d'Etat. Cette idée continue pourtant à déchirer la zone euro, alors que la crise s'aggrave et que la récession menace l'Europe y compris l'Allemagne. L.E.






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